Lisa Lubrecht se soucie du bien-être des personnes qui l’entourent : elle travaille depuis deux ans au sein d’une micro crèche pour accompagner et aider les enfants au quotidien. Elle se spécialise depuis peu dans l’accompagnement à la gestion des émotions du jeune enfant.
La jeune Ansoise participe à l’élection Miss Beaujolais dans le but de lui permettre de devenir une meilleure version d’elle-même : "J’aime m’enrichir au quotidien et développer mes connaissances, c’est donc une merveilleuse expérience. Je suis extrêmement reconnaissante de tout ce que Chantal nous a apporté au travers des différentes rencontres et événements avec les partenaires, je les remercie du fond du cœur !".
Représenter le Beaujolais lui tient à cœur : elle lui admire sa richesse, ses paysages et ses valeurs. "J’aimerais le représenter et le faire briller lors de nombreux événements". L'Ansoise souhaite également montrer à toutes les femmes que tout est possible, "il faut oser, car nous avons toutes un réel potentiel dans notre for intérieur. Nous sommes toutes différentes mais nous avons toutes nos forces, toutes nos atouts et nos particularités, ce qui crée notre richesse".
Ayant "beaucoup appris" ces dernières années par ses lectures et son développement personnel, elle aimerait partager autour d'elle les différents apprentissages qu'elle a pu acquérir "autour de la vision positive de la vie, mais également de la communication non violente (CNV), pour améliorer nos relations humaines. Si je suis élue, j’aimerais profiter de la notoriété pour partager ces différentes valeurs qui m’accompagnent au quotidien. Montrer à tous et à toutes que la bienveillance et l’écoute sont les maîtres mots pour de bonnes relations, surtout en ces temps actuels de post pandémie". Elle souhaiterait également faire connaître la région du Beaujolais de façon régionale et nationale pour toutes ces richesses : culturelles, gastronomiques et environnementales. "Une région que j’ai pu découvrir de par mes nombreuses randonnées dans les différents coins du Beaujolais".
Séverine Surieux
Correspondante locale de presse