La prévenue devra attendre le 10 mars pour savoir si le tribunal correctionnel de Villefranche l'a jugé coupable ou non de "violences sur mineurs de moins de 15 ans sans incapacité", plus précisément sur des enfants de 6 mois à 3 ans.
Lors de ses réquisitions, le ministère public avait requis une peine de quatre mois de prison avec sursis et surtout une interdiction d'exercer une activité professionnelle ou bénévole en contact avec des mineurs pendant une durée de 10 ans. (Voir notre édition papier du 2 février)
L.C.