Joueurs de boules, baigneurs, les costumes racontent le passé, comme le faucheur, ou ce paysan qui casse la croûte. Jean-Louis de Braco, fils d’artisans italiens, était peintre en bâtiment, il s’emploie aujourd’hui à une peinture plus personnelle, plus expressive depuis qu’il est retraité ; la musique, aussi, nourrit sa recherche de l’harmonie, il joue de la guitare et du trombone. L’harmonie, en peinture, c’est du côté de l’école de Barbizon qu’il la trouve, du côté du réalisme. Ses toiles racontent le plus souvent un personnage, un lieu. Ainsi, cette vigne beaujolaise, aux couleurs plus vives que les autres, et qui met en scène une de ses proches... L’artiste sera présent les samedis du mois d’août à la Maison du terroir beaujolais, il exposera ensuite tout le mois d’octobre à la cave coopérative de Fleurie.
Christine Gesse
Correspondante locale de presse