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10 bonnes nouvelles pour le Beaujolais (extrait)

Blédina : la production de céréales infantiles va exploser La direction de l'usine Blédina de Villefranche annonce que le site va accueillir progressivement cinq mille tonnes de volumes de céréales infantiles supplémentaires, ce qui portera la capacité de l'usine à plus de quinze mille tonnes à l'horizon 2015.

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Blédina : la production de céréales infantiles va exploser

La direction de l'usine Blédina de Villefranche annonce que le site va accueillir progressivement cinq mille tonnes de volumes de céréales infantiles supplémentaires, ce qui portera la capacité de l'usine à plus de quinze mille tonnes à l'horizon 2015. Elle desservira ainsi les marchés de vingt pays européens de la division nutrition infantile contre seulement deux aujourd'hui. Face à l'arrêt annoncé du contrat de sous-traitance pour le compte de Kraft-Foods, qui implique une transformation nécessaire des activités de l'usine de Villefranche, la direction propose une solution pérenne pour le site et pour ses collaborateurs. Tous les engagements pris en 2011 par la direction de Blédina seront tenus : il n'y aura pas de licenciements liés au départ de Kraft et l'usine restera à Villefranche.
Pour accueillir au mieux ces nouveaux volumes de céréales infantiles, la direction prévoit notamment un plan de transformation majeur de l'usine, mené grâce à des investissements significatifs. Elle s'engage également à accompagner les collaborateurs concernés dans cette transition.
"Le site va connaître une transformation jamais connue, à la fois ambitieuse et exigeante, qui nécessitera l'implication de tous, pour demain faire de Villefranche le centre d'expertise mondial des céréales infantiles pour Danone", fait remarquer Madelig Paolini, le directeur de l'usine.

Laurence Chopart


Beaujolais : les vins de garde décollent au Japon

Pendant longtemps, les Japonais ne connaissaient du Beaujolais que son vin nouveau. La bonne nouvelle, c'est que les habitants de l'archipel commencent à découvrir (et apprécier) les vins de garde. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Après deux années 2010 et 2011 déjà marquées par une croissance importante, la tendance s'est accélérée en 2012 : + 18 % en volume et + 37 % en valeur par rapport à 2011 (chiffres Ubifrance arrêtés à fin octobre), c'est-à-dire hors période de vente de beaujolais nouveau. "Il y a de quoi être optimiste. Le primeur représente toujours 90 % des ventes au Japon, mais les vins de garde se font peu à peu une place intéressante", analyse Aurélie Vabre, responsable export à Inter Beaujolais. Cette embellie s'explique à la fois par la notoriété du mot "beaujolais" au Japon, couplée aux efforts effectués par le vignoble en matière de promotion et de communication. "Nous avons notamment organisé un séminaire de formation/dégustation à Tokyo, associant plus largement les vins de garde beaujolais à la période de la floraison des cerisiers", illustre Aurélie Vabre. Preuve que même au Japon, il y a une vie après le "nouveau".

Julien Verchère

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